Le Deal du moment : -55%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
49.99 €


Au bûcher, Marcus!

Devin Effire

Devin Effire
online

Messages : 292
Dollars : 79
Faceclaim : Cody Christian
Statut Civil : Célibataire, libre comme l'air
Métier : Danseur nu
Habitation : Appartement dans la Zone Nord
Au bûcher, Marcus! WkyBCjw
Pouvoirs :
Principaux
✧ Pyrokinésie
À venir
À venir

Secondaires
À venir
À venir

Buff
À venir

Debuff
À venir
Au bûcher, Marcus! EP0kZgs
Rps : KimRiddyAdamThélioAdam 2Maddie
Bonus : Au bûcher, Marcus! LzMzAIW
Il possède un diplôme en administration qui prend la poussière dans l'un de ses tirroirs. ✧ Ces deux plus grands biens sont le collier qu'il orne son cou en permanence et l'alliance. Deux créations de sa défunte soeur. ✧ À chaque 14 juin, il se retrouve au sol américain, se receuillir sur la tombe de sa soeur. ✧ Il est danseur nu à Hunters Lounge. ✧ Des démons lui agrippent les chevilles. Il dilapide ses billets colorés dans des jeux de hasard. ✧ Il est en colocation avec Maddie -et son raton-, plus récemment un Thélio s'est joint à la coloc.
Au bûcher, Marcus! Tumblr_inline_o5xwudNErY1qlt39u_250
TW : Aucun
Crédits : Nathie
DC : Flynn G. & Ethan L.

   https://embracethemagic.forumactif.com/t7-devin-effire-o-get-you
Au bûcher, Marcus!
Les rayons de soleil percent dans sa chambre à travers les rideaux mal fermés. Un grognement trahit l’humeur du danseur nu qui tourne au travers de ses couvertures, mais le mal aura déjà fait tomber sa sentence de le chasser des bras de Morphée. Habituellement c’est son cadran qui l’extirpe de son sommeil ou encore la personne qui a partagé son lit lors des heures d’une nuit. Ce qui le surprend. Il n’y avait aucune place chaude à ses côtés, mais il ne s’en soucie guère. Après son quart de travail, il pourra toujours biens ses cartes et poursuivre la suite en bonne compagnie.
Par le peu de clarté dans sa chambre, Devin estime l’heure de la journée. Il y avait encore quelques heures devant lui, de quoi prendre une douche et râler un bon coup avant de devoir quitter pour se rendre au Hunters Lounge. Il peut oublier le gym aujourd’hui, mais rien ne l’empêchera de faire quelques exercices une fois à son lieu de travail pour sculpter davantage les muscles qui ornent son corps. Muscles que sa colocataire pourra reluquer à son plus grand bonheur comme chaque jour.
Il se demande par la même occasion pourquoi elle n’a pas encore succombé à sa personne. Ce n’est pas comme s’il était déplaisant à regarder. Il l’a bien remarqué la première fois qu’il est sorti de sa chambre vêtu d’un simple pantalon. Peut-être s’était-elle habituée au final? Rien de surprenant, sachant qu’il se pavane toujours pu couvert.

Tout comme maintenant, alors qu’il franchit le seuil de sa pièce avec pour seul vêtement ses boxers. Il s’étire par la même occasion, tente de chasser encore le sommeil qui lui embrume l’esprit. Dès qu’il passe dans le couloir pour se rendre à la salle de bain, une odeur lui chatouille les narines -désagréablement-. Lui qui pensait qu’il s’accoutumerait, finalement il en a des frissons à chaque bouffée qu’il inspire.
Ses pas font un détour, se dirige vers la chambre de Mad -surnom qu’elle adore soit dit en passant-. Néanmoins, c’est une salle vide qui se trouve sous ses yeux. Il lève ses pralines azurées vers le ciel et rebrousse le chemin, mais bifurque dans la cuisine.
Cette machine à café dont il ressent encore la chaleur qui s’en émane.

— C’est vraiment trop compliqué de jeter avant de foutre le camp?

Question rhétorique qu’il marmonne pour lui-même puisque la première intéressée brille par son absence.
Il agrippe le contenant et le liquide foncé se déverse dans l’évier. Devin grimace tandis que l’arôme se disperse. Il le renverse à l’envers pour accélérer le processus et qu’il soit libéré.

Un cri transperce l’appartement. Une bestiole avait bondi devant sa personne et lui a arraché la cafetière. Un boucan s’ensuit de l’objecté se fracassant contre le lavabo et la boule de poils qui tente de se redresser et qui empestera le café à coup sûr.

— Fucking shit, foutu rat, je vais vraiment te cramer!

Son myocarde battant la chamade au sein de sa cage thoracique par le sursaut engendré. Quelques flammèches meurent au-dessus de sa tête sous la colère qui fuse dans ses veines.
Il s’approche de Marcus afin de l’enlever du foutu évier, mais ce sac de maladie sur pattes commence à grogner envers sa personne.

— Tu vas te calmer ou je te transforme en brochette de raton?

Mais il l’ignore et entame de gratter le fond de l’évier faisant mine de récupérer le café perdu à jamais au fin fond de la tuyauterie.

— Ça ne sert à rien, y’en n’a plus, j’ai tout vidé stupide animal! Elle avait juste à ne pas le laisser trainer.
@Devin Effire